12/10/2017
Verte Venise
Tout est littoral
sur le chemin de halage
où l’eau dort
avec ses mystères ensevelis
et je me plais à longer le canal
les mains dans les poches
l’une serrant une clef
l’autre un mouchoir déplié
promeneur solitaire
dans la lumière d’octobre
la vie est littérature
et la sérénité n’a pas d’âge
TP extrait de "Verte Venise"
22:00 Publié dans Poèmes | Lien permanent | Commentaires (0)
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