26/10/2020
Dans la main du Grand Amant
Je m'en reviendrais,
avec ma musette pleine de larmes, de livres et de rêves.
Et à mon tour je dévorerai l'Inconnu
dans une ineffable et éternelle étreinte.
Je m'en viendrai avec la souvenance des paysages et des peuples.
Chanteront les mers, danseront les galaxies, tressailliront les peuples.
Donner, se donner.
Nous sommes tous dans la main du Grand Amant
et les premiers balbutiements de notre adoration
sont les premiers moments de notre dignité.
Xavier Grall dans "L'inconnu me dévore"
10:00 Publié dans Poèmes, Réflexions spirituelles | Lien permanent | Commentaires (0)
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