29/07/2009
Enfin les vacances
Enfin les vacances, Seigneur !
Dieu sait combien je les ai attendues !
Je comptais les jours et les heures,
mon travail se faisait plus pesant
à mesure qu'elles approchaient.
Et dans la paix de ce pays,
dans la beauté de la nature,
dans l'inactivité de mes mains,
me voici tout bête, ne sachant que faire
de ma toute neuve liberté.
Bénis, Seigneur, ce jour de vacances.
Bénis les jours qui s'ouvrent devant nous
et vont passer comme un éclair.
Jours de joie et de paix,
jours de détente et d'amitié.
En savourant cette paix,
en détendant mon corps et mon coeut,
si je te parlais, Seigneur.
Aux jours de travail,
je te demande et t'implore
et pour celui-ci et pour cela,
presque toujours intéressé,
dans le désir des solutions.
Si je te parlais aujourd'hui ,
dans la montagne ou l'océan,
dans la plaine ou la rivière,
dans le nuage et l'oiseau,
dans le soleil ou l'étoile.
Anonyme
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26/07/2009
Arrête-toi
Tu ne peux vivre sans cesse dans la course et le bruit,
dans les problèmes sans solution,
dans les contraintes et les gestes répétés.
Ne crois pas trop vite les marchands de soleil.
Les vraies vacances ne se mesurent pas au nombre de kilomètres.
Les vraies vacances,
c’est comme de vrais amis,
ça ne se vend pas, ça ne s’achète pas.
On peut râler sous le soleil on peut chanter sous la pluie.
Savoure les petits bonheurs, les grands coûtent trop cher.
Apprends à t’aimer toi-même et
entraîne-toi ainsi à aimer les autres.
Cultive le sourire, la parole agréable,
au-delà des petites guerres froides quotidiennes.
La réussite du monde,
c’est aussi la fraternité des personnes
dans les rencontres soudaines et libres.
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25/07/2009
Soleil
MARIE "SOLEIL" (1971)
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24/07/2009
Trois poèmes + 1
Le ciel imprègne la plage
Où luit l'image de la mer
Moins radieuse que ton silence
» » »
Mais ne méprise jamais pèlerin
Dans les derniers replis du soir
Au bord des lacs où dorment les montagnes
La femme, plus odorantes que les pains
Au corps de pollens et de raisins noirs.
» » »
Les grands automnes descendent de la montagne
en silence
Jusqu'aux abeilles qui abandonnent nos dernières roses
Où la rosée du matin
A déjà le parfum de la neige.
- c’est ici
- que la lumière
- est toujours faite d’ombre
- chatoyante
- embrasée
- elle se fond dans les feuilles
- les mousses les broussailles
- ou la chair de l’aubier
- ne restent que les traces
- noir et or
- de l’incendie
- et mille lambeaux de sang
- sur les branches
- le vent lui-même
- malgré ses étoiles
- demeure obscur
- chargé d’oubli
- Jean Mambrino
"Clairière", dans L’oiseau-coeur, éd. Stock-Poésie, 1979, p. 53.
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21/07/2009
T'es
Clémence - T'es (2009)
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19/07/2009
Le bon berger
Psaume 22
Le Seigneur est mon berger :
je ne manque de rien.
Sur des prés d'herbe fraîche,
il me fait reposer.
Il me mène vers les eaux tranquilles
et me fait revivre ;
il me conduit par le juste chemin
pour l'honneur de son nom.
Si je traverse les ravins de la mort,
je ne crains aucun mal,
car il est avec moi :
ton bâtion me guide et me rassure.
Tu prépares la table pour moi
devant mes ennemis :
tu répands le parfum sur ma tête,
ma coupe est débordante.
Grâce et bonheur m'accompagnent
tous les jours de ma vie ;
j'habiterai la maison du Seigneur
pour la durée de mes jours.
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