31/12/2010
St Sylvestre
A méditer le soir de la Saint Sylvestre, c'est à dire aujourd'hui!
Le bonheur, c'est avoir une bonne santé et une mauvaise mémoire. Ingrid Bergman
On a beau avoir une santé de fer, on finit toujours par rouiller. Jacques Prévert
J'ai décidé d'être heureux parce que c'est bon pour la santé. François Marie Arouet, dit Voltaire
Le bonheur pour une abeille ou un dauphin est d'exister, pour l'homme, de le savoir et de s'en émerveiller. Jacques-Yves Cousteau
Tous les hommes font la même erreur, de s'imaginer que bonheur veut dire que tous les voeux se réalisent. Léon Tolstoï
Je ne prendrai pas de calendrier cette année, car j'ai été très mécontent de celui de l'année dernière! Alphonse Allais
Tenez, dit l'avare: voici un calendrier neuf, et qu'il vous fasse toute l'année! [ Journal ] Jules Renard
Nous ne vieillissons pas d'une année sur l'autre, nous nous renouvelons chaque jour. Emily Dickinson
Il ne faut pas chercher à rajouter des années à sa vie-mais plutôt essayer de rajouter de la vie à ses années. John Fitzgerald Kennedy
Il n'est aucune chose qui aille plus vite que les années. Léonard de Vinci
Nous arrivons tout nouveaux aux divers âges de la vie, et nous y manquons souvent d'expérience malgré le nombre des années.
[ Réflexions ou Sentences et Maximes morales (1664), 405 ] François, duc de La Rochefoucauld
On ne devient pas vieux pour avoir vécu un certain nombre d'années; on devient vieux parce qu'on a déserté son idéal. Les années rident la peau: renoncer à son idéal ride l'âme. Douglas MacArthur
Rien ne passe comme les années, rien ne dure comme les minutes!
[ Pitié pour les ombres, La montre ] Gérald Bertot, dit Thomas Owen
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28/12/2010
Instant d'éternité
Faire entrer l'éternité
Christian Bobin
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26/12/2010
Sainte famille
Paix dans toutes les familles
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25/12/2010
Joyeux Noël
Joyeux Noël
à tous les lecteurs de ce blog!
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24/12/2010
Petit homme
France Bleu a reçu Hugues Aufray.
L'infatigable auteur de "Santiano" revient, seulement un an après son album hommage à Bob Dylan, avec une compilation de ses chansons, "Petit Homme", qui reprend ses standards chantés par tous
Ecouter l'interview |
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Noël 5
INCARNATION : LE VERBE S’EST FAIT CHAIR
Dans le Credo, nous chantons ces mots qu’il convient de méditer : « incarnatus de Spiritu Sancto ». Le Christ a pris chair par l’opération du Saint-Esprit. La chair et l’esprit sont souvent présentés comme formant la plus grande de toutes les oppositions. L’esprit lutte contre la chair, entend-on toujours dire. Et pourtant nous professons dans le Credo que, par l’Esprit, le Verbe éternel est devenu chair. Le mouvement se fait de l’Esprit vers la chair. Ce n’est pas là seulement le mystère de la naissance de Jésus-Christ, c’est aussi celui de notre propre incarnation. L’Esprit doit entrer dans notre propre chair, il doit devenir chair. C’est seulement ainsi que nous pouvons en faire l’expérience. Sans la chair, Dieu demeurerait sans visage en ce monde. Pour se faire homme, Dieu a besoin de la chair, afin que sur notre visage puisse rayonner le visage de Dieu. Tertullien a exprimé cela dans une formule célèbre : « Caro cardo salutis » : la chair est le point cardinal, l’articulation du salut ; il n’est pas de salut, pas de santé recouvrée, pas de rédemption qui ne passe par la chair.
Peux-tu, toi qui me lis, adhérer à cette assertion théologique, ou bien est-elle en contradiction avec ton expérience ? Peux-tu dire oui à ta chair, ou souffres-tu d’être incarné ? La chair, cela veut dire : ta beauté, mais aussi ta fragilité, ta maladie, ton corps qui vieillit ; ta force et ta faiblesse, ta pesanteur, ta susceptibilité et ta vulnérabilité ; les joies que procure le corps, mais aussi les souffrances qu’il apporte quand il n’est pas comme nous le voudrions. Rien ne peut nous blesser plus profondément que la moquerie qui s’adresse à notre corps. La sexualité est le siège du plus fort de tous les plaisirs, mais aussi le domaine où nous pouvons être le plus cruellement blessés. Dieu s’est fait chair : cela signifie qu’il entre dans notre chair, qu’il nous rencontre là où nous sommes fatigués au travail, où nous sommes pleins de force, pleins de tendresse, où nous avons faim et soif. Notre chair a le désir de Dieu. « Dieu, c’est toi mon Dieu, je te cherche, mon âme a soif de toi, après toi languit ma chair, terre sèche, altérée, sans eau », dit David (Psaumes, 63 [62], 2). Si Dieu exauce ce désir de ton corps, celui-ci s’épanouira. La lumière que tu irradies rayonne à travers ton corps. Si Dieu transforme ta chair, elle se changera en une perle où se reflétera en ce monde la lumière de Dieu. Alors, tu porteras dans ton corps, comme le dit un Père de l’Église, « la pierre précieuse, cette image de l’ineffable lumière qu’est le Seigneur ».
Anselm GRÜN, Petite méditation sur les fêtes de Noël, Albin Michel, Paris, 1999, p. 95-98.
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