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25/03/2019

Je vous salue, Marie

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L'annonciation - Arcabas

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24/03/2019

La branche morte

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La branche morte,
celle qui jamais plus ne portera de feuilles nouvelles,
ni de fleurs ou de fruits,
celle que la vie a désertée pour toujours...
il lui reste une possibilité merveilleuse :
accepter d'être jetée dans le feu,
et celle qui ne servait à rien devient lumière et chaleur
pour ceux qui sont dans la maison.
Je t'offre ce soir Seigneur
les branches mortes de ma journée.
Je sais qu'au feu de ton AMOUR
elles seront transformées !
... Mais au soir des tempêtes souvent hélas
je laisse à terre pourrir mes branches mortes.

Michel Quoist

23/03/2019

Le choral du veilleur (Bach)

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22/03/2019

Prière de carême

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« Mon Dieu, je ne viens pas Te demander de faire un bon Carême, mais de faire bon moi-même. Je ne viens pas Te demander de m'apprendre à me priver, mais de m'apprendre à aimer. Je ne viens pas Te demander la justice des sacrifices, mais la justice du cœur. Non le mérite mais le pardon, non la pénitence mais la joie, car elle est pauvre. Amen. »

Père Jean Debruynne (1925-2006)

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21/03/2019

Hommage à Jacques Bodoin

Iacques Bodoin (1921-2019)

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20/03/2019

Premier sourire de printemps

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Premier sourire de printemps

 

Tandis qu’à leurs œuvres perverses
Les hommes courent haletants,
Mars qui rit, malgré les averses,
Prépare en secret le printemps.

Pour les petites pâquerettes,
Sournoisement lorsque tout dort,
II repasse des collerettes
Et cisèle des boutons-d’or.

Dans le verger et dans la vigne,
II s’en va, furtif perruquier,
Avec une houppe de cygne,
Poudrer à frimas l’amandier.

La nature au lit se repose ;
Lui, descend au jardin désert
Et lace les boutons de rose
Dans leur corset de velours vert.

Tout en composant des solfèges
Qu’aux merles il siffle à mi-voix,
II sème aux prés les perce-neige
Et les violettes au bois.

Sur le cresson de la fontaine
Où le cerf boit, l’oreille au guet,
De sa main cachée il égrène
Les grelots d’argent du muguet.

Sous l’herbe, pour que tu la cueilles,
II met la fraise au teint vermeil,
Et te tresse un chapeau de feuilles
Pour te garantir du soleil.

Puis, lorsque sa besogne est faite,
Et que son règne va finir,
Au seuil d’avril tournant la tête,
II dit : « Printemps, tu peux venir ! »

Théophile Gautier (1811-1872)
Emaux et camées