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King of the world

Il y a 40 ans sortait l'album "King of the world" de Sheila B. Devotion sur lequel se trouve notamment "Spacer", sorti en 45t à l'automne 1979.

Ecrit et produit par Nile Rodgers et Bernard Edwards (Chic Organisation).

On dit que David Bowie découvrant Spacer fait appel aux compositeurs qui lui composeront l'année suivante "Let's dance". Et Madonna aura son "Like a virgin".

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L'album

 

Le clip officiel (1980)

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Le 45 tours

Sheila et Nile Rodgers

40ème anniversaire

 

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12/06/2020 | Lien permanent

J'ai fait le rêve...


Martin Luther King I have a dream (sous-titres français)
en écho au texte d'Isaïe de la nuit de Noël.

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25/12/2007 | Lien permanent

Purcell

Music for a while (Purcell) - The King's Singers & Jakub Józef Orliński

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10/02/2021 | Lien permanent

Espérance du monde

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Aujourd'hui, dans la nuit du monde et dans l'espérance, 
j'affirme ma foi dans l'avenir de l'humanité.

Je refuse de croire que les circonstances actuelles 
rendent les hommes incapables de faire une terre meilleure.

Je refuse de partager l'avis de ceux qui prétendent l'homme à ce point captif de la nuit 
que l'aurore de la paix et de la fraternité ne pourra jamais devenir une réalité.

Je crois que la vérité et l'amour, sans conditions, 
auront le dernier mot effectivement.

La vie, même vaincue provisoirement, 
demeure toujours plus forte que la mort.

Je crois fermement qu'il reste l'espoir d'un matin radieux, 
je crois que la bonté pacifique deviendra un jour la loi.

Chaque homme pourra s'asseoir sous son figuier, dans sa vigne, 
et plus personne n'aura plus de raison d'avoir peur.

Martin Luther King

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J'ai fait un rêve

J'ai fait un rêve !
...
J'ai rêvé qu'un jour, tous les vallons seront relevés, toutes les collines seront aplanies, tous les rochers seront arasés, tous les défauts seront corrigés, et que la gloire du Seigneur sera révélée à tous les hommes.
C'est notre espoir. Avec cette foi, nous arracherons à la montagne du désespoir le joyau de l'espérance. Avec cette foi, nous saurons transformer la cacophonie de la discorde en une splendide symphonie de fraternité. Avec cette foi, nous saurons travailler et prier ensemble, nous battre et aller en prison ensemble, nous dresser ensemble pour la liberté, sachant que nous serons libres un jour.
Ce jour arrivera quand tous les enfants de Dieu seront capables de chanter avec un esprit renouvelé : "Mon pays, douce terre de liberté, je chante pour toi. Pays où mes parents sont morts, pays de la fierté des pélerins, de chaque versant des montagnes, fais sonner la liberté."
Faites sonner la liberté ! Et quand nous aurons fait sonner la liberté dans chaque village et dans chaque hameau, dans chaque état et dans chaque ville, nous pourrons hâter la venue du jour où tous les enfants de Dieu, les noirs et les blancs, les juifs et les chrétiens, les protestants et les catholiques, pourront se donner la main et chanter les paroles de ce vieux chant noir : " libres enfin, libres enfin, merci Dieu Tout-Puissant, nous sommes libres enfin ".


Martin Luther King
Extraits, Washington, 28 août 1963.

Voir aussi ICI.

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22/01/2009 | Lien permanent

Mandela

mm.jpgIl disait qu'il n'était « ni un saint ni un prophète ». Il déplorait qu'on le présente comme « une sorte de demi-dieu ». Il insistait sur ses « erreurs », ses « insuffisances », ses « impatiences ». Jusqu'au bout, tandis qu'on le fêtait à travers le monde, tandis que les Etats et les puissants lui tressaient des lauriers, lui dressaient des statues, lui décernaient des palmes et des récompenses, tandis qu'un peu partout on donnait son nom à des milliers d'écoles, d'universités, de rues, de places, de parcs et d'institutions diverses, jusqu'au bout il s'est voulu « un homme comme les autres, un pécheur qui essaie de s'améliorer ».

Nelson Mandela est mort à l'âge de 95 ans à son domicile de Johannesburg, a annoncé dans la soirée du jeudi 5 décembre le président sud-africain Jacob Zuma, en direct à la télévision publique. « Notre cher Madiba aura des funérailles d'Etat », a-t-il ajouté, annonçant que les drapeaux seraient en berne à partir de vendredi et jusqu'aux obsèques.

On l'a comparé, et on l'identifiera plus encore maintenant qu'il est mort, au Mahatma Gandhi, au dalaï lama, à Martin Luther King. Même charisme, même volonté farouche. L'histoire tranchera. Bill Clinton voyait en lui « le triomphe de l'esprit humain, le symbole de la grandeur d'âme née dans l'adversité ». Il est plus probable que Nelson Rolihlahla Mandela restera, pour l'Afrique, ce qu'Abraham Lincoln fut pour l'Amérique du Nord, ou Simon Bolivar pour celle du Sud : un libérateur.

(extrait d'article du Monde)

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06/12/2013 | Lien permanent

Noël 2

661668232.jpgPourquoi ne changerions nous pas Noël en fête de la Solidarité ?

Je m’exprime à titre personnel.

En fêtant avec mes enfants, mes petits enfants qui n’apprécient même plus les cadeaux, qui sont blasés, alors qu’il y a des millions d’enfants qui n’ont pas un jouet ou des personnes agées esseulées, que personne ne va voir, plus tous les orphelins de toutes origines, cela me blesse.

En recevant beaucoup de témoignages, j’ai compris à quel point le monde devient “fou” et que nous entrons dans un système de plus en plus basé sur le matériel (je ne généralise cependant pas) !

Je ne suis pas là pour culpabiliser qui que ce soit, mais on devrait accueillir, comme cela se faisait dans le temps, des personnes que l’on croise et que l’on sait isolées. Ce serait déjà une façon d’aider les nôtres, et tous ceux qui sont sur le sol français. De toute façon, cela est personnel mais je tenais à vous faire part de mes réflexions.

Si je vous écris tout cela, c’est que j’ai vécu des expériences et que j’ai passé des Noëls avec mes trois filles dans des milieux aussi différents qu’un banquier et qu’un paysan. Et à ce moment là, le monde était plus ouvert et plus chaleureux.

Comme le disait Martin Luther King, “j’ai eu un rêve”, et mon rêve à moi était que Noël doit être une joie pour tout le monde.

Je ne peux hélas pas encore m’engager dans les aides sociales style soupe populaire pour des raisons de santé (mais la guérison est en vue).

Juste ma réflexion sur ces fêtes.

L’Optimiste.(source)

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21/12/2010 | Lien permanent

Sheila sur Tsugi-radio

Sheila sur tsugi-radio pour les 40 ans de King of the road.

Très bonne émission d'une heure trente.

NB Il est normal que l'on n'entende plus les chansons Don't go, Mayday, Blancs jaunes rouges noirs, Emmenez-moi, 7ème continent, Spacer. On peut avancer le curseur pour la suite de l'interview.

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30/06/2020 | Lien permanent

Rêve

Alors qu'un certain humoriste qui se croit artiste se permet de faire rire une France amnésique, comme il est bon de retrouver ce discours de Martin Luther King pour crier notre espérance de voir disparaître à tout jamais le racisme qui est en nous et autour de nous.

"I have a dream" par Martin Luther King

"J'ai fait un rêve" discours prononcé par Martin Luther King
au Lincoln Memorial de Washington D.C., le 28 août 1963.

Je suis heureux de participer avec vous aujourd'hui à ce rassemblement qui restera dans l'histoire comme la plus grande manifestation que notre pays ait connu en faveur de la liberté.
Il y a un siècle de cela, un grand américain qui nous couvre aujourd'hui de son ombre symbolique signait notre acte d'émancipation. Cette proclamation historique faisait, comme un grand phare, briller la lumière de l'espérance aux yeux de millions d'esclaves noirs marqués au feu d'une brûlante injustice. Ce fut comme l'aube joyeuse qui mettrait fin à la longue nuit de leur captivité.

Mais cent ans ont passé et le Noir n'est pas encore libre. Cent ans ont passé et l'existence du Noir est toujours tristement entravée par les liens de la ségrégation, les chaînes de la discrimination; cent ans ont passé et le Noir vit encore sur l'île solitaire de la pauvreté, dans un vaste océan de prospérité matérielle; cent ans ont passé et le Noir languit toujours dans les marches de la société américaine et se trouve en exil dans son propre pays.

C'est pourquoi nous sommes accourus aujourd'hui en ce lieu pour rendre manifeste cette honteuse situation. En ce sens, nous sommes montés à la capitale de notre pays pour toucher un chèque. En traçant les mots magnifiques qui forment notre constitution et notre déclaration d'indépendance, les architectes de notre république signaient une promesse dont héritaient chaque Américain. Aux termes de cet engagement, tous les hommes, les Noirs, oui, aussi bien que les Blancs, se verraient garantir leurs droits inaliénables à la vie, à la liberté et à la recherche du bonheur.

Il est aujourd'hui évident que l'Amérique a failli à sa promesse en ce qui concerne ses citoyens de couleur. Au lieu d'honorer son obligation sacrée, l'Amérique a délivré au peuple noir un chèque sans valeur; un chèque qui est revenu avec la mention "Provisions insuffisantes". Nous ne pouvons croire qu'il n'y ait pas de quoi honorer ce chèque dans les vastes coffres de la chance en notre pays. Aussi sommes nous venus encaisser ce chèque, un chèque qui nous fournira sur simple présentation les richesses de la liberté et la sécurité de la justice.

Nous sommes également venus en ce lieu sanctifié pour rappeler à l'Amérique les exigeantes urgences de l'heure présente. Il n'est plus temps de se laisser aller au luxe d'attendre ni de pendre les tranquillisants des demi-mesures. Le moment est maintenant venu de réaliser les promesses de la démocratie; le moment est venu d'émerger des vallées obscures et désolées de la ségrégation pour fouler le sentier ensoleillé de la justice raciale; le moment est venu de tirer notre nation des sables mouvants de l'injustice raciale pour la hisser sur le roc solide de la fraternité; le moment est venu de réaliser la justice pour tous les enfants du Bon Dieu. Il serait fatal à notre nation d'ignorer qu'il y a péril en la demeure. Cet étouffant été du légitime mécontentement des Noirs ne se terminera pas sans qu'advienne un automne vivifiant de liberté et d'égalité.

1963 n'est pas une fin mais un commencement. Ceux qui espèrent que le Noir avait seulement besoin de laisser fuser la vapeur et se montrera désormais satisfait se préparent à un rude réveil si le pays retourne à ses affaires comme devant.

Il n'y aura plus ni repos ni tranquillité en Amérique tant que le Noir n'aura pas obtenu ses droits de citoyen.

Les tourbillons de la révolte continueront d'ébranler les fondations de notre nation jusqu'au jour où naîtra l'aube brillante de la justice.

Mais il est une chose que je dois dire à mon peuple, debout sur le seuil accueillant qui mène au palais de la justice : en nous assurant notre juste place, ne nous rendons pas coupables d'agissements répréhensibles.

Ne cherchons pas à étancher notre soif de liberté en buvant à la coupe de l'amertume et de la haine. Livrons toujours notre bataille sur les hauts plateaux de la dignité et de la discipline. Il ne faut pas que notre revendication créatrice dégénère en violence physique. Encore et encore, il faut nous dresser sur les hauteurs majestueuses où nous opposerons les forces de l'âme à la force matérielle.

Le merveilleux militantisme qui s'est nouvellement emparé de la communauté noire ne doit pas nous conduire à nous méfier de tous les Blancs. Comme l'atteste leur présence aujourd'hui en ce lieu, nombre de nos frères de race blanche ont compris que leur destinée est liée à notre destinée. Ils ont compris que leur liberté est inextricablement liée à notre liberté. L'assaut que nous avons monté ensemble pour emporter les remparts de l'injustice doit être mené par une armée biraciale. Nous ne pouvons marcher tout seuls au combat. Et au cours de notre progression, il faut nous engager à continuer d'aller de l'avant ensemble. Nous ne pouvons pas revenir en arrière. Il en est qui demandent aux tenants des droits civiques : "Quand serez vous enfin satisfaits ?" Nous ne pourrons jamais être satisfaits tant que le Noir sera victime des indicibles horreurs de la brutalité policière.

Nous ne pourrons jamais être satisfaits tant que nos corps recrus de la fatigue du voyage ne trouveront pas un abris dans les motels des grand routes ou les hôtels des villes. Nous ne pourrons jamais être satisfaits tant que la liberté de mouvement du Noir ne lui permettra guère que d'aller d'un petit ghetto à un ghetto plus grand.

Nous ne pourrons jamais être satisfaits tant que nos enfants seront dépouillés de leur identité et privés de leur dignité par des pancartes qui indiquent : "Seuls les Blancs sont admis." Nous ne pourrons être satisfaits tant qu'un Noir du Mississippi ne pourra pas voter et qu'un Noir de New York croira qu'il n'a aucune raison de voter. Non, nous ne sommes pas satisfaits, et nous ne serons pas satisfaits tant que le droit ne jaillira pas comme les eaux et la justice comme un torrent intarissable.

Je n'ignore pas que certains d'entre vous ont été conduits ici par un excès d'épreuves et de tribulations. D'aucuns sortent à peine de l'étroite cellule d'une prison. D'autres viennent de régions où leur quête de liberté leur a valu d'être battus par les tempêtes de la persécution, secoués par les vents de la brutalité policière. Vous êtes les pionniers de la souffrance créatrice. Poursuivez votre tache, convaincus que cette souffrance imméritée vous sera rédemption.

Retournez au Mississippi; retournez en Alabama; retournez en Caroline du Sud; retournez en Géorgie; retournez en Louisiane, retournez à vos taudis et à vos ghettos dans les villes du Nord, en sachant que, d'une façon ou d'une autre cette situation peut changer et changera. Ne nous vautrons pas dans les vallées du désespoir.

Je vous le dis ici et maintenant, mes amis : même si nous devons affronter des difficultés aujourd'hui et demain, je fais pourtant un rêve. C'est un rêve profondément ancré dans le rêve américain. Je rêve que, un jour, notre pays se lèvera et vivra pleinement la véritable réalité de son credo : "Nous tenons ces vérités pour évidentes par elles-mêmes que tous les hommes sont créés égaux."

Je rêve que, un jour, sur les rouges collines de Géorgie, les fils des anciens esclaves et les fils des anciens propriétaires d'esclaves pourront s'asseoir ensemble à la table de la fraternité.

Je rêve que, un jour, l'État du Mississippi lui-même, tout brûlant des feux de l'injustice, tout brûlant des feux de l'oppression, se transformera en oasis de liberté et de justice.
Je rêve que mes quatre petits enfants vivront un jour dans un pays où on ne les jugera pas à la couleur de leur peau mais à la nature de leur caractère. Je fais aujourd'hui un rêve !

Je rêve que, un jour, même en Alabama où le racisme est vicieux, où le gouverneur a la bouche pleine des mots "interposition" et "nullification", un jour, justement en Alabama, les petits garçons et petites filles noirs, les petits garçons et petites filles blancs, pourront tous se prendre par la main comme frères et sœurs. Je fais aujourd'hui un rêve !

Je rêve que, un jour, tout vallon sera relevé, toute montagne et toute colline seront rabaissés, tout éperon deviendra une pleine, tout mamelon une trouée, et la gloire du Seigneur sera révélée à tous les êtres faits de chair tout à la fois.

Telle est mon espérance. Telle est la foi que je remporterai dans le Sud.

Avec une telle foi nous serons capables de distinguer, dans les montagnes de désespoir, un caillou d'espérance. Avec une telle foi nous serons capables de transformer la cacophonie de notre nation discordante en une merveilleuse symphonie de fraternité.
Avec une telle foi, nous serons capables de travailler ensemble, de prier ensemble, de lutter ensemble, d'aller en prison ensemble, de nous dresser ensemble pour la liberté, en sachant que nous serons libres un jour. Ce sera le jour où les enfants du Bon Dieu pourront chanter ensemble cet hymne auquel ils donneront une signification nouvelle -"Mon pays c'est toi, douce terre de liberté, c'est toi que je chante, pays où reposent nos pères, orgueil du pèlerin, au flanc de chaque montagne que sonne la cloche de la liberté"- et si l'Amérique doit être une grande nation, il faut qu'il en soit ainsi.
Aussi faites sonner la cloche de la liberté sur les prodigieux sommets du New Hampshire.

Faites la sonner sur les puissantes montagnes de l'État de New York.
Faites la sonner sur les hauteurs des Alleghanys en Pennsylvanie.
Faites la sonner sur les neiges des Rocheuses, au Colorado.
Faites la sonner sur les collines ondulantes de la Californie.
Mais cela ne suffit pas.

Faites la sonner sur la Stone Mountain de Géorgie.
Faites la sonner sur la Lookout Mountain du Tennessee.
Faites la sonner sur chaque colline et chaque butte du Mississippi, faites la sonner au flanc de chaque montagne.

Quand nous ferons en sorte que la cloche de la liberté puisse sonner, quand nous la laisserons carillonner dans chaque village et chaque hameau, dans chaque État et dans chaque cité, nous pourrons hâter la venue du jour où tous les enfants du Bon Dieu, les Noirs et les Blancs, les juifs et les gentils, les catholiques et les protestants, pourront se tenir par la main et chanter les paroles du vieux "spiritual" noir : "Libres enfin. Libres enfin. Merci Dieu tout-puissant, nous voilà libres enfin."

 

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04/01/2014 | Lien permanent

Prodiges

Simon Lopez, le gagnant Prodiges 2021, joue à la clarinette: Klezmer Dance de Martin Fröst, vu hier soir sur France 2 à la finale de Prestiges 2022.

 

 

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30/12/2022 | Lien permanent

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