Auteurs à découvrir

Deux auteurs à découvrir: Olivier Adam et Myrielle Marc.

Rugby

Au foot, on essaie de marquer des buts. Au rugby, le but est de marquer des essais. (A. Rémond dans La Croix du 4 septembre)

Mots d'enfants (2)

Ma maîtresse est malade, elle a la grève. Cassandre 5 ans

J'ai une maîtresse toute neuve à l'école, elle s'appelle Sophie! Benoît 4 ans

Je ne peux pas travailler à l'école, j'ai la main qui transpire. Kevin 5 ans

Qu'as-tu fait à l'école ce matin Sacha ? - du coloriage, du gomettage, du dessinage et du ... bavardage ! Sacha 5 ans

Moi, j'aime bien l'école, surtout à la récréation ! Valentine 4 ans

Mots d'enfants (1)

Aujourd'hui, à l'école, j'ai été sage comme un dessin !  Benjamin 5 ans

A l'école il y a une barrière entre la cour des petits et la cour des grands pour empêcher de faire des câlins aux grandes soeurs ...  Enzo 3 ans

Visite d'un inspecteur de l'éducation nationale à l'école maternelle. Curieux, Valentin va lui demander : "C'est toi, l'inspecteur Gadget ?"  Valentin 3

La maman: "Qu'as-tu mangé à la cantine ce midi ?" "Des carottes râpées...de la viande..." "Et avec quoi ?""Ben....ma fourchette !"  Louis 4 ans

 

Passe en Macédoine

Paris, mardi 4 septembre 2007. Le pape Benoit XVI, suite à la démission de Mgr Daniel LABILLE pour raison d’âge, a nommé évêque de Créteil Mgr Michel SANTIER. Il était jusqu’à présent évêque de Luçon.

ça me fait tout drôle de savoir que mon évêque va quitter le diocèse pour celui de Créteil. Seulement six ans de présence en Vendée, c'est peu pour un évêque!

Je vous invite à lire les pages du site officiel de l'Eglise de Luçon.

A suivre.

Démarrage à sec

Cette rentrée ressemble à un lent cortège de chaussettes mouillées. Il a tellement plu cet été que le vacancier a rétréci en séchant. Il tient tout entier dans le tiroir d'un bureau, même en ouvrant son parapluie. Abandonnées à la hâte au début des congés, ses tenues de ville ne sont plus à ta taille: sa tête émincée flotte au-dessus du noeud de cravatte. Il a tant fondu qu'il s'enrhume dans son costume et son bleu de travail, à cause des courants d'air. Quand un collègue remue des épaules pour saluer, on a l'impression de voir frémir un portemanteau. Blanc comme un linge, il raconte ses souvenirs en ronchonnant. On pourrait croire qu'il a séjourné dans une laverie automatique. Il avait dressé son lit de camp devant l'essoreuse. La pluie crépitait sur les parapluies qui battaient des ailes comme des chauves-souris. Le soir, il se promenait le long des flaques d'eau. Cet été, l'homme a découvert qu'il n'était pas étanche.

Billet de Pascal Paillardet dans La Vie de cette semaine.