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14/08/2015

Marie

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Je voudrais chanter, Marie, pourquoi je t'aime
Pourquoi ton nom si doux fait tressaillir mon cœur
Et pourquoi la pensée de ta grandeur suprême
Ne saurait à mon âme inspirer de frayeur.
Si je te contemplais dans ta sublime gloire
Et surpassant l'éclat de tous les bienheureux
Que je suis ton enfant je ne pourrais le croire
Ô Marie, devant toi, je baisserais les yeux !...
[...]
Tu nous aimes, Marie, comme Jésus nous aime
Et tu consens pour nous à t'éloigner de Lui.
Aimer c'est tout donner et se donner soi-même
Tu voulus le prouver en restant notre appui.
Le Sauveur connaissait ton immense tendresse
Il savait les secrets de ton cœur maternel,
Refuge des pécheurs, c'est à toi qu'Il nous laisse
Quand Il quitte la Croix pour nous attendre au Ciel.
[...]
Bientôt je l'entendrai cette douce harmonie
Bientôt dans le beau Ciel, je vais aller te voir
Toi qui vins me sourire au matin de ma vie
Viens me sourire encor... Mère... voici le soir !...
Je ne crains plus l'éclat de ta gloire suprême
Avec toi j'ai souffert et je veux maintenant
Chanter sur tes genoux, Marie, pourquoi je t'aime
Et redire à jamais que je suis ton enfant !...

Sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus
(extraits du poème "Pourquoi je t'aime, ô Marie!")

01/08/2015

La rentrée du poème

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C’est un petit mot
Tout propre et tout beau
Qui ne veut ni école
Ni sac sur le dos.

Il préfère les flaques d’eau
Et les feuilles qui volent,
Il préfère les étoiles
Et les bateaux à voiles…

Pourtant les enfants l’aiment
Le petit Poème,

Alors, tout propre et tout beau,
Son sac sur le dos,
Il court sur les cahiers
Des petits écoliers

Christine FAYOLLE

10/07/2015

Laudato si

 

 

07/07/2015

Kraftwerk

Kraftwerk: Radio activity et Trans Europ Express

En concert à Nantes le lundi 9 Novembre en 3 D à la Cité des Congrès

04/07/2015

Fatigue

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Devant des milliers de prêtres et une centaine d'évêques et de cardinaux, le Souverain Pontife est donc longuement revenu sur la charge sacerdotale, les engagements qu’elle implique, les fatigues pastorales qu’elle engendre et la manière dont Dieu lui-même en prend soin.

« La fatigue des prêtres ! » C’est une réalité, et le Pape avoue y penser souvent. Mais cette fatigue est aussi précieuse, précise-t-il, elle est comme l’encens qui monte silencieusement vers le Ciel, et va droit au cœur du père. Devant cette fatigue : une seule solution, le repos. Mais attention, le repos en Dieu. Le prêtre doit apprendre à se reposer. Là se trouve la clef de la fécondité pastorale, là se joue la confiance mais aussi le souvenir que les prêtres sont aussi des brebis.

Les prêtres, des brebis, mais aussi et surtout des pasteurs qui doivent porter la bonne nouvelle aux pauvres, consoler les affligés et soigner les cœurs brisés. Ces tâches requièrent la compassion la plus absolue. Le cœur du prêtre se réjouit avec ses fidèles, pleure avec eux. Tant d’émotions bouleversent son cœur, et le fatiguent aussi.

Les fatigues justement, François en recense trois types : la fatigue des foules d’abord, celle-là même qu’a connue Jésus. Une fatigue épuisante, mais saine, celle du pasteur au milieu de ses brebis, du père entouré de ses enfants.

Deuxième type de fatigue : celle des ennemis, car le démon et ses adeptes ne dorment pas. Le prêtre doit défendre le troupeau et se défendre soi-même du mal, avec l’aide de Dieu.

Et enfin, la fatigue la plus dangereuse, car plus insidieuse et autoréférentielle, celle de « soi-même » : on se déçoit soi-même, on manque de persévérance. C’est une fatigue qui « minaude avec la mondanité spirituelle », affirme François.

Mais le Seigneur s’occupe de nous et de notre fatigue, assure le Pape. Le Lavement des pieds en est peut-être la plus belle image, la plus profonde, la plus mystérieuse aussi. Le Christ purifie lui-même le désir de le suivre. Alors sachons apprendre à être fatigués, mais bien fatigués.

SOURCE

08/06/2015

Ah tous ces mots!

mots.jpgIl y a dans notre belle langue française des mots qu'on utilise pour meubler la conversation ou pour chercher les mots suivants. Il y a comme ça des effets de mode. Souvent les medias sont coupables, ils imposent à la France entière une manière de parler. Je m'amuse souvent à repérer ces mots ou expressions.

En ce moment, c'est l'expression "du coup" qui est en tête du hit-parade, suivie de très près de "effectivement", "tout-à-fait" et "certes". Mais on a eu il y a quelques années "ça va pas le faire", et on a toujours à la télé ou à la radio "merci d'avoir été avec nous".

Dans la presse locale, on a de plus en plus le verbe "s'inviter" comme dans, par exemple: "Le soleil s"est invité à la fête".

Aujourd'hui on n'interdit plus, mais on dit: "merci de ne pas marcher sur les pelouses" ou encore "nos amis les chiens ne sont pas acceptés."   Ah, tous ces mots!   TP