Ecrire 2

Cet été 2012 a été particulièrement fructueux pour moi dans le domaine de l'écriture. J'ai notamment écrit 30 récits sur des anecdotes et souvenirs d'enfance. Tous se situent entre août 1963 et août 1973, soit entre mes 5 et 15 ans. Trois semaines d'écriture intensive, à raison parfois de trois récits par jour. Il me reste deux histoires à finir et le tout à relire, à corriger, à paufiner. L'ensemble aura pour titre: "Le mange-disque et autres souvenirs"

C'est la première fois que je m'essaie vraiment à un autre genre littéraire que la poésie. Le travail n'est pas du tout le même. Là, il me fallait de longues plages d'écriture. Il n'y a que les vacances où je peux me permettre de prendre ce temps. Je ne suis pas comme Amélie Nothomb qui se donne quatre heures d'écriture tous les jours entre 4 et 8 heures du matin. Non! j'aime trop mon lit pour me lever avant le soleil! Mais j'imagine: comme cela doit être bien d'écrire le matin, dans le silence, sans être dérangé par un coup de téléphone! Il faudra que j'essaie, mais je ne me fais pas trop d'illusions. 

A suivre TP

Ecrire

Ecrire, écrire, toujours écrire. Ecrire c'est une envie, un besoin, une nécessité, une rage... Ecrire c'est s'accomplir, devenir, grandir... Ecrire, c'est être, comparaitre devant soi tout en étant à la fenêtre de sa vie et de la vie du monde. Ecrire, ce n'est pas seulement prendre la plume, c'est aussi se prendre la main pour partager à qui veut le lire quelque chose de soi. Chaque expérience a quelque chose d'unique et d'universel. Quand on croit tout inventer, on écrit que ce qui a été dit passé au tamis de ses émotions et de ses aspirations. Ecrire est un travail, un travail sur soi pour naître sans cesse au monde.   TP

Effeuille-moi le coeur

Françoise Hardy: Effeuille-moi le coeur

Paroles:J ohnny Rech

Musique: Bernard Ilous

Direction musicale: Saint-Preux

1970

Patrimoine

Ce week-end est celui du patrimoine;

je vous propose de visiter les jardins de William Christie à Thiré.

C'est par ICI

Légèreté

 

Comment cultiver, Seigneur,

la légèreté, l’allégresse ?

Cicatriser sans nier

ni renier la blessure ?

Se délivrer des chaînes

les plus pesantes et les plus subtiles ?

Celles dont on se libère

en arrachant un peu de chair ?

 

Aide-nous à faire fi

de l’expérience aigre ou satisfaite.

A passer l’éponge sur l’ardoise.

Permets-nous de renouveler à chaque aube

le vœu de bonté : Bienveillance, préjugé favorable,

oubli de l’offense, générosité et magnificence,

aisance et grâce.

 

Que nous allions vers ce qui vient,

les mains nues, le cœur simple,

sans anxiété ni impatience.

La joie du vif plutôt que le poids du mort.

 

Colette Nys-Masure,

Prières toutes simples pour le quotidien des jours