25/10/2006
Vues de lune
Là-haut dans les sphères célestes, les saints s'inquiètent de voir que Dieu traîne un air d'ennui... Après concertation ils en viennent à la même conclusion... Il faut trouver une petite amie au bon Dieu !
Une délégation de saints se fait recevoir et fait part à Dieu de son désir de le voir retrouver le sourire en ayant une compagne à ses côtés... Dieu se dit : pourquoi pas ?
-- Voyons qui pourrait faire l'affaire ?
Les saints présentent toute une série de planètes... Aucune ne plaît à Dieu, pas même Vénus...
En dernier recours on dit à Dieu :
-- Que pensez-vous de la Lune ?
Dieu s'écrie : Surtout pas celle-là ! Enfin réfléchissez ! Que vais-je faire d'une bonne femme qui est pleine tous les mois et qui change de quartier toutes les semaines --- ? ? ?
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24/10/2006
Automne
La campagne s'élève
comme un encens
Dans son cahier
la nature a mis du brun
du mauve et du jaune
Langage de l'automne
sur la page des jours
Parfum de la pomme
sous les arbres d'amour
Vienne le temps
d'entrer en silence
Le crayon des saisons
invite à l'oraison
TP dans "Le chemin de l'enfance" 1989
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23/10/2006
Arcabas
Découvrez l'artiste 08:00 Publié dans Actualités, Témoignage | Lien permanent | Commentaires (0)
22/10/2006
Secours catholique & Prisons
1946-2006: 60 ans du Secours Catholique.
Ce dimanche se termine aussi à Lourdes le congrès de l'aumônerie catholique des prisons
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21/10/2006
Le bal des Laze
La plus belle chanson de Michel Polnareff a été massacrée hier soir à la Star'Ac! Voici le texte de cette chanson poème que l'auteur interprétait avec flamboyance en 1968 aux claviers de grandes orgues.
Je serai pendu demain matin
Ma vie n'était pas faite
Pour les châteaux
Tout est arrivé ce soir de juin
On donnait une fête
Dans le château
Dans le château de Laze
Le plus grand bal de Londres
Lord et Lady de Laze
Recevaient le grand monde
Diamants, rubis, topazes
Et blanches robes longues
Caché dans le jardin
Moi je serrais les poings
Je regardais danser
Jane et son fiancé.
Je serai pendu demain au jour
Dommage pour la fille
De ce château
Car je crois qu'elle aimait bien l'amour
Que l'on faisait tranquille
Loin du château
Dans le château de Laze
Pour les vingt ans de Jane
Lord et Lady de Laze
Avaient reçu la Reine
Moi le fou que l'on toise
Moi je crevais de haine
Caché dans le jardin
Moi je serrais les poings
Je regardais danser
Jane et son fiancé.
Je serai pendu demain matin
Ca fera quatre lignes
Dans les journaux
Je ne suis qu'un vulgaire assassin
Un vagabond indigne
De ce château
Dans le château de Laze
Peut-être bien que Jane
A l'heure où l'on m'écrase
Aura un peu de peine
Mais ma dernière phrase
Sera pour qu'on me plaigne
Puisqu'on va lui donner
Un autre fiancé
Et que je ne pourrai pas
Supprimer celui-là
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20/10/2006
Notes
Notes sur Le Grand Meaulnes, Lélian, Lettres à un ami prêtre. TP
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