19/01/2011
Histoire de neige
« Dis-moi, combien pèse un flocon de neige ? », demanda la mésange à la colombe. « Rien d’autre que rien », fut la réponse. Et la mésange raconta alors à la colombe une histoire : « J’étais sur une branche d’un sapin quand il se mit à neiger. Pas une tempête, non, juste comme un rêve, doucement, sans violence. Comme je n’avais rien de mieux à faire, je commençais à compter les flocons qui tombaient sur la branche où je me tenais. Il en tomba 3.751.952. Lorsque le 3.751.953ème tomba sur la branche, rien d’autre que rien comme tu l’as dit, celle-ci cassa. » Sur ce, la mésange s’envola. La colombe, une autorité en matière de paix depuis l’époque d’un certain Noé, réfléchit un moment et se dit finalement : « Peut-être ne manque-t-il qu’une personne pour que tout bascule et que le monde vive en paix ! » ( ACAT, Action des Chrétiens pour l’Abolition de la Torture)
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18/01/2011
Unité des chrétiens
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15/01/2011
Vitas Lucia di Lammermoor
Pour mettre en route la video, couper dans la colonne de gauche la musique d'accompagnement.
Vitas, est un chanteur pop russe né en Lettonie le 19 février 1981.
Il est aussi compositeur, acteur et designer de mode (styliste).
Son vrai nom est Vitalii Vladasovich Grachyov (Виталий Владасович Грачев), mais il est connu sous le nom de Vitas (Витас).
Il a un style unique dans ses chansons et ses clips. Il produit sa musique avec de nombreux genres, allant de l’excentrique techno à l’opéra classique. Il a une voix cristalline digne des plus grands sopranos.
Il a de nombreux succès comme les chansons Zvezda (The star), Opera #2, A Kiss As Long As Eternity, Lucia Di Lammermoor (son single en 2006).
Il a 5 albums à son actif, Philosophy of Miracle, Smile!, Mama, The Songs of My Mother, A Kiss As Long As Eternity.
Il a fait son grand retour en Russie en 2007 !
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14/01/2011
25 ans déjà
Il y a 25 ans aujourd'hui disparaissait Daniel Balavoine.
Ecoutez le titre de la semaine: "Le français est une langue qui résonne", chanson de 1977, pas très connue, mais que j'aime beaucoup.
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13/01/2011
Baptise-nous d'Esprit
Baptise-nous d'Esprit,
et qu'il ouvre nos coeurs
aux dimensions du monde.
Dans nos raisonnements crispés
et en nos doctrines rigides
qu'il glisse les pétillements
de la Bonne Nouvelle !
Viens nous baptiser d'Esprit !
Qu'il élargisse notre bienveillance
et qu'il nous fasse reconnaître
ta splendide vérité
disséminée en tous les peuples
et qu'il alerte notre foi
aux signes de ta lumineuse présence
rayonnant hors de nos frontières !
Baptise-nous d'Esprit, Seigneur,
et qu'il nous arrache à nos certitudes étriquées
et qu'il nous donne à contempler
ton amour à l'oeuvre
en toute l'Humanité
et qu'il nous rende conscients
qu'aucune nation,
qu'aucune religion,
qu'aucune Eglise
n'est propriétaire du salut
apporté par l'Enfant de Noël !
Viens nous baptiser d'Esprit
afin qu'en nous s'incarne l'Evangile
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12/01/2011
Dire du bien
Dire du bien: l'art de bénir.
Au réveil, bénissez votre journée, car elle déborde déjà d’une abondance de biens que vos bénédictions font apparaître. Car bénir signifie reconnaître le bien infini qui fait partie intégrante de la trame même de l’univers.
Il n’attend qu’un signe de nous pour se manifester.
En croisant les gens dans la rue, dans le bus, sur votre lieu de travail, bénissez-les tous. La paix de votre bénédiction sera la compagne de leur chemin, et l’aura de son discret parfum une lumière sur leur route.
Bénissez ceux que vous rencontrez dans leur santé, dans leur travail, leur joie, leur relation au divin, à eux-même et aux autres.
Bénissez-les dans leur abondance et dans leurs finances.
Bénissez-les de toutes les façons concevables, car de telles bénédictions ne sèment pas seulement les semences de la guérison mais, un jour, jailliront comme autant de fleurs de joie dans les espaces arides de votre propre vie.
En vous promenant, bénissez votre village ou votre cité, ceux qui la gouvernent et ses enseignants, ses infirmières et ses balayeurs, ses prêtres et ses prostituées.
À l’instant même où quelqu’un exprime la moindre agressivité, colère ou manque de bonté à votre égard, répondez avec une bénédiction silencieuse.
Bénissez-les totalement, sincèrement, joyeusement, car de telles bénédictions sont un bouclier qui vous protège de l’ignorance de leurs méfaits, et détourne la flèche qui vous est adressée.
Bénir signifie désirer et vouloir inconditionnellement, totalement et sans réserve aucune le bien illimité – pour les autres et les évènements de la vie – en puisant aux sources les plus profondes et les plus intimes de votre être.
Cela signifie révérer et considérer avec un émerveillement total ce qui est toujours un don du Créateur et cela quelles que soient les apparences.
Celui qui est porté par votre bénédiction est mis à part, consacré, entier.
Bénir tout et tous, sans discrimination aucune, constitue la forme ultime du don, car ceux que vous bénissez ne sauront jamais d’où vient ce rayon de soleil qui soudain perça les nuages de leur ciel, et vous serez rarement témoins de cette lumière dans leur vie.
Quand, dans votre journée, quelque évènement inattendu vous bouleverse, vous autant que vos plans, éclatez en bénédictions, car la vie est en train de vous apprendre une leçon, même si sa coupe peut vous sembler amère.
Car cet évènement que vous pensez être si indésirable, vous l’avez en fait suscité, afin d’apprendre la leçon qui vous échapperait si vous hésitiez à le bénir. Les épreuves sont des bénédictions cachées, et des cohortes d’anges suivent leurs traces.
Bénir signifie reconnaître une beauté omniprésente cachée aux yeux immatériels. C’est activer la loi universelle de l’attraction qui, du fond de l’univers, amènera dans votre vie exactement ce dont vous avez besoin dans le moment présent pour grandir, progresser et remplir la coupe de votre joie.
Quand vous passez devant une prison, bénissez ses habitants dans leur innocence et leur liberté, leur bonté, la pureté de leur essence et leur pardon inconditionnel. Car on ne peut qu’être prisonnier de l’image que l’on a de soi-même, et un homme libre peut marcher sans chaînes dans la cour d’une prison, tout comme les citoyens d’un pays libre peuvent être prisonniers quand la peur se tapit dans leur pensée.
Quand vous passez devant un hopital, bénissez ses patients dans la plénitude de leur santé, car même dans leur souffrance et leur maladie, cette plénitude attend simplement d’être découverte.
Et quand vous voyez une personne en pleurs ou apparemment brisée par la vie, bénissez-la dans sa vitalité et sa joie : car les sens ne présentent que l’inverse de la splendeur et de la perfection ultimes que seul l’oeil intérieur peut percevoir.
Il est impossible de bénir et de juger en même temps. Alors maintenez en vous ce désir de bénir comme une incessante résonance intérieure et comme une perpétuelle prière silencieuse, car ainsi vous serez de ceux qui procurent la paix et, un jour, vous découvrirez partout la face même de Dieu.
Et par dessus tout, n’oubliez pas de bénir cette personne merveilleuse, totalement belle dans sa vraie nature, et si digne d’amour que vous êtes.
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