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05/05/2009

Caroline

Pour commencer (ou finir) la journée dans la bonne humeur, voici une chanson sans paroles de Gérard Lenorman: Caroline (1975)


GERARD LENORMAN CAROLINE (1975)
Cette musique ouvre un magnifique album sur lequel on trouve notamment "La Belle et la Bête", "Bonjour les petits enfant", "Et moi je chante", "Je vous écris", "Sur le chemin de la vie"...

08:00 Publié dans Chansons | Lien permanent | Commentaires (1)

04/05/2009

Soeur Sourire

Voici ce que j'écrivais sur Soeur Sourire il y a trois ans.

03/05/2009

Journée de prière pour les vocations

affiche-service-national-des-vocations.jpg

Père de tendresse,
au coeur du monde,
Tu m'appelles à respecter et à préserver
les merveilles de Ta Création.
Me voici devant Toi !

O Christ,
Tu m'appelles à donner, comme Toi,
ma vie pour mes frères.
Il y a mille et une manières de le faire.
Aide-moi !

Esprit de Dieu,
Esprit de force et de sagesse,
Tu m'appelles à me lancer avec courage
sur le chemin de la vie.
Viens à moi !

Seigneur,
pour le service des hommes
et la vie de Ton Eglise,
je veux discerner Ton appel
et y répondre chaque jour,
avec joie !

Prière écrite par le séminaire St Jean de Nantes

02/05/2009

Un 2 mai...

Le 2 mai 87, elle nous quittait...

Ci-dessous, moi devant la tombe de Dalida au cimetière Montmartre en aoüt 2007.

Montmartre 010-1.jpg

01/05/2009

Muguet

muguet.jpg

30/04/2009

Sans la nommer

Je voudrais, sans la nommer,
Vous parler d'elle
Comme d'une bien-aimée,
D'une infidèle,
Une fille bien vivante
Qui se réveille
A des lendemains qui chantent
Sous le soleil.

C'est elle que l'on matraque,
Que l'on poursuit que l'on traque.
C'est elle qui se soulève,
Qui souffre et se met en grève.
C'est elle qu'on emprisonne,
Qu'on trahit qu'on abandonne,
Qui nous donne envie de vivre,
Qui donne envie de la suivre
Jusqu'au bout, jusqu'au bout.

Je voudrais, sans la nommer,
Lui rendre hommage,
Jolie fleur du mois de mai
Ou fruit sauvage,
Une plante bien plantée
Sur ses deux jambes
Et qui traîne en liberté
Ou bon lui semble.

C'est elle que l'on matraque,
Que l'on poursuit que l'on traque.
C'est elle qui se soulève,
Qui souffre et se met en grève.
C'est elle qu'on emprisonne,
Qu'on trahit qu'on abandonne,
Qui nous donne envie de vivre,
Qui donne envie de la suivre
Jusqu'au bout, jusqu'au bout.

Je voudrais, sans la nommer,
Vous parler d'elle.
Bien-aimée ou mal aimée,
Elle est fidèle
Et si vous voulez
Que je vous la présente,
On l'appelle
Révolution permanente.

C'est elle que l'on matraque,
Que l'on poursuit que l'on traque.
C'est elle qui se soulève,
Qui souffre et se met en grève.
C'est elle qu'on emprisonne,
Qu'on trahit qu'on abandonne,
Qui nous donne envie de vivre,
Qui donne envie de la suivre
Jusqu'au bout, jusqu'au bout.

C'est elle que l'on matraque,
Que l'on poursuit que l'on traque.
C'est elle qui se soulève,
Qui souffre et se met en grève.
C'est elle qu'on emprisonne,
Qu'on trahit qu'on abandonne,
Qui nous donne envie de vivre,
Qui donne envie de la suivre
Jusqu'au bout, jusqu'au bout.
Jusqu'au bout, jusqu'au bout.
Jusqu'au bout, jusqu'au bout.

G. Moustaki