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22/02/2007

Qu'as-tu fait de ton frère?

A la veille d’échéances électorales majeures, les évêques de France ont souhaité attirer l’attention sur un certain nombre de valeurs essentielles dans le débat démocratique. Ils invitent les communautés catholiques, les responsables politiques et l’opinion publique à prendre le temps de la réflexion et du dialogue sur les enjeux des élections et à soutenir la vie démocratique par la réflexion et l’action.

« A travers ce message, nous voulons réveiller le sens humain et spirituel de la fraternité. Pour cela, nous avons retenu cette interrogation fondamentale pour nous. La Bible s’ouvre rapidement sur cette question et, si aujourd’hui nous la redisons, c’est pour réveiller les consciences humaines dans une humanité où chacun est toujours tenté de penser à lui-même avant les autres. C’est une question fondatrice qui signifie : "Réveille en toi le sens de la fraternité". C’est tellement difficile de faire place aux idées et aux besoins de l’autre… Pourtant, on devient humain les uns avec les autres, les uns pour les autres, jamais les uns contre les autres. Bien d’autres interrogations sous-tendent cette question : "Que fais-tu de cette démocratie ? Que fais-tu de ton pays ? Que fais-tu des autres pays ? Que fais-tu de ta famille?…" »
Mgr Pontier, évêque de Marseille et vice président de la Conférence des évêques de France. Novembre 2006.

Vous trouverez le texte complet en cliquant sur le lien: Qu'as-tu fait de ton frère?  (Message du Conseil permanent de la Conférence des évêques de france en vue des prochaines élections).

 

 

21/02/2007

Je t'ai rencontré au désert

 medium_desert.jpg

J'ai inventé des mots nouveaux,

comme font les poètes quand ils sont inspirés.

Ils coulaient sur mon papier,

c'était fontaine au mois de mai.

Moi, j'attendais quelqu'un au carrefour d'une phrase

ou au détour d'un mot.

Et les eaux ont coulé et les mots ont passé.

Mais toi, mon Dieu, que j'attendais, je ne t'ai pas rencontré.

 

Alors j'ai mis un terme à la magie des mots.

J'ai ouvert toute grande ma porte aux idées,

des idées bonnes, des idées saines, des idées pures,

mais tu n'étais pas là au coeur de mes idées.

 

J'ai cru alors qu'il te fallait plus que des mots

et même bien plus que des idées.

Il te fallait des actes, mon Dieu.

Des actes pour tous les jours: ouvrir ma porte,

ouvrir ma table, donner aux pauvres.

Des actes pour les grands jours,

les grands moments, les grands pardons:

servir la soupe comme Coluche ou Térésa à Calcutta.

Mais hélas mon Dieu, tu n'es toujours pas là...

 

N'y tenant plus, j'ai tout quitté,

j'ai tout vendu, j'ai tout donné.

Je suis parti au désert,

loin du monde, loin du bruit.

A ses portes j'y ai laissé mes jolis mots,

mes jolis coeurs.

 

J'ai ôté mes idées comme on ôte un chapeau,

je me suis dépouillé de mes actes.

Alors, puir et nu je t'attendais, mon Dieu,

sûr que cette fois tu serais là au rendez-vous,

mais je suis resté seul au coeur de mon désert.

 

Alors, quand je n'ai plus eu de mots pour te dire,

ni même de mains pour te saisir,

quand je n'ai plus eu d'idées

pour habiller mon désir,

ni surtout de perfection à t'offrir,

quand je n'étais que blessure,

tu es venu, mon Dieu!

 

Robert Riber

08:00 Publié dans Prières | Lien permanent | Commentaires (1)

20/02/2007

Mardi Gras

medium_carnavalmont.jpgReprendre le "travail" un mardi gras après huit jours de repos, ce n'est pas évident... Toute cette semaine passée, vous avez pu voir quelques chansons souvenirs, lire quelques prières. Le blog va maintenant entrer en carême... Le rythme des notes sera moins soutenu. En attendant, découvrez les origines du Mardi Gras. TP

Voici que je frappe à la porte

 
     
 
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« Voici que je me tiens à la porte et que je frappe. »

C'est vrai ! Je me tiens à la porte de ton cœur, jour et nuit.

Même quand tu ne m'écoutes pas,

même quand tu doutes que ce puisse être Moi,

c'est Moi qui suis là.

J'attends le moindre petit signe de réponse de ta part,

le plus léger murmure d'invitation, qui me permettra

d'entrer chez toi.

Je veux que tu saches que chaque fois

que tu m'inviteras,

je vais réellement venir.

Je serai toujours là, sans faute.

Silencieux et invisible, je viens ,

mais avec l'infini pouvoir de mon amour .

Je viens avec ma miséricorde, avec mon désir

 de te pardonner, de te guérir,

avec tout l'amour que j'ai pour toi ;

Un amour au-delà de toute compréhension,

un amour où chaque battement du cœur

est celui que j'ai reçu du Père même.

« Comme le Père m'a aimé, moi aussi je vous ai aimé ».

Je viens , assoiffé de te consoler, de te donner ma force,

de te relever,, de t'unir à moi, dans toutes mes blessures.

Je vais t'apporter ma lumière.

Je viens écarter les ténèbres et les doutes de ton cœur.

Je viens avec mon pouvoir capable de te porter toi-même

et de porter tous tes fardeaux.

Je viens avec ma grâce pour toucher ton cœur

et transformer ta vie.

Je viens avec ma paix, qui va apporter

le calme et la sérénité à ton âme.

Je connais tout de toi.

Même les cheveux de ta tête, je les ai tous comptés.

Rien de ta vie n'est sans importance à mes yeux.

Je connais chacun de tes problèmes,

de tes besoins, de tes soucis.

Oui, je connais tous tes péchés,

mais je te le redis une fois encore :

Je t'aime , non pas pour ce que tu as fait,

non pas pour ce que tu n'as pas fait.

Je t'aime pour toi-même, pour la beauté et la dignité

que mon Père t'a données

en te créant à son image et à sa ressemblance.

C'est une dignité que tu as peut-être souvent oubliée,

Une beauté que tu as souvent ternie par le péché,

mais je t'aime tel que tu es.

 

Mère TERESA

 
   
     
     
     

08:00 Publié dans Prières | Lien permanent | Commentaires (1)

19/02/2007

Marin

Pétula Clark: Marin

Enfant du voyage
Ton lit c'est la mer
Ton toit les nuages
Eté comme hiver
Ta maison c'est l'océan
Tes amis sont les étoiles
Tu n'as qu'une fleur au cœur
Et c'est la rose des vents
Ton amour est un bateau
Qui te berce dans ses voiles
Mais n'oublie pas pour autant
Que l'on t'attend

Enfant du voyage
Ton cœur s'est offert
Au vent, aux nuages
Là-bas sur la mer
Mais tu sais que dans un port
Tremblant à chaque sirène
Une fille aux cheveux d'or
Perdue dans le vent du nord
Une fille aux cheveux d'or
Compte les jours et les semaines
Et te garde son amour
Pour ton retour

Paroles et Musique: Scharfenberger, Busch, West, Broussolle   1961
Titre original: "Sailor"


18/02/2007

Un homme heureux


William Sheller - Un Homme Heureux