14/07/2008
14 juillet
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30/06/2008
Abandon
Hier, je suis allé à l'ordination de mon nouvel évêque, le P. Castet... voir site du diocèse de Luçon.
La photo ci-dessus m'a fait penser à la prière d'abandon de Charles de Foucauld:
Mon Père
Je m'abandonne à toi.
Fais de moi ce qu'il te plaira.
Quoique tu fasses de moi,
je te remercie.
Je suis prêt à tout, j'accepte tout.
Pourvu que ta volonté se fasse en moi
et en toutes tes créatures,
je ne désire rien d'autre
mon Dieu.
Je remets mon âme entre tes mains.
Je te la donne, mon Dieu,
avec tout l'amour de mon cœur
parce que je t'aime,
et que ce m'est un besoin d'amour
de me donner, de me remettre
entre tes mains sans mesure
avec une infinie confiance,
car tu es mon Père.
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24/06/2008
St Jean Baptiste
Fête de la nativité de saint Jean Baptiste (24 juin)
Cette fête du 24 juin est située le plus souvent un jour de semaine.
La nativité de Jean Baptiste est fêtée au solstice d'été, 6 mois avant celle de Jésus à Noël au solstice d'hiver (cf. Luc 1, 36).
Évangile de Jésus Christ selon saint Luc
Quand arriva le moment où Élisabeth devait enfanter, elle mit au monde un fils. Ses voisins et sa famille apprirent que le Seigneur lui avait prodigué sa miséricorde, et ils se réjouissaient avec elle. Le huitième jour, ils vinrent pour la circoncision de l'enfant. Ils voulaient le nommer Zacharie comme son père. Mais sa mère déclara : " Non, il s'appellera Jean ". On lui répondit : " Personne dans ta famille ne porte ce nom-là !" On demandait par signes à son père comment il voulait l'appeler. Il se fit donner une tablette sur laquelle il écrivit : Son nom est Jean. Et tout le monde en fut étonné. À l'instant même sa bouche s'ouvrit, sa langue se délia : il parlait et bénissait Dieu. La crainte saisit alors les gens du voisinage, et dans toute la montagne de Judée on racontait tous ces événements. Tous ceux qui les apprenaient en étaient frappés et disaient : " Que sera donc cet enfant ?" En effet, la main du Seigneur était avec lui. L'enfant grandit et son esprit se fortifiait. Il alla vivre au désert jusqu'au jour où il devait être manifesté à Israël.
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16/06/2008
Vive la philo
J'ai trouvé très intéressant l'éditorial de Ouest-France de ce jour dont voici le texte complet:
Tout n'est pas rose pour autant. Et les professeurs de philosophie ne dissimulent pas la difficulté d'exercer cet art de l'éveil. Le contexte est, à certains égards, porteur, comme en témoigne le succès d'ouvrages et de magazines consacrés à la philo et à l'éthique. Mais il est, à d'autres égards, rudement plombant, du fait de cette manie butineuse génératrice d'une évidente difficulté de concentration. La « patience du concept » n'est vraiment pas le fort de notre temps !
Néanmoins, les vertus de cet exercice demeurent intactes, dès lors qu'une pédagogie judicieuse conjure le risque d'intimidation et de découragement.
La première d'entre elles reste l'étonnement d'un regard découvrant, sous l'écorce du quotidien souvent le plus banal, l'extraordinaire foisonnement problématique. Pour l'illustrer, une anecdote : Paul Ricoeur se promène sur l'île de Sein et, subitement, il tombe en arrêt devant des herbes rases, triomphant de l'austérité d'une chaussée de galets. « Regardez, dit-il, avec un étonnement ravi, combien la vie l'emporte sur l'inerte ! »
Voilà, en un instant, une chose si modeste transfigurée en motif de surprise et, de proche en proche, en interrogation sur l'élan vital qui parvient à vaincre ce qui l'entrave ou le nie. On imagine bien cet homme déjà âgé, dissertant sur ce « malgré tout » qu'il affectionnait tant et en tirant une philosophie de l'espérance. C'est le génie de la philosophie que de découvrir d'un regard renouvelé tant de réalités dont l'habitude voile l'insondable richesse : l'amour, le pouvoir, le désir, le mal, le tact...
Dans le même temps, peut commencer à s'expérimenter l'acte, non plus de savoir, mais de penser. Ce qui exige le courage de s'exposer au triple risque de la conviction, de l'incertitude, dans un brouillard jamais complètement dissipé, de l'erreur aussi comme provocation à la poursuite du travail intellectuel et spirituel. C'est par là que la philosophie se hisse à son juste niveau, celui d'un exercice critique s'aidant des puissances de la raison pour rejoindre sa visée propre : « Penser par soi-même », selon l'exhortation de Kant.
Mais « penser par soi-même » ne signifie en rien « penser seul ». Au contraire ! Une réflexion bien menée suppose une modestie déjà philosophique : le « je sais que je ne sais rien » de Socrate. Elle suppose aussi d'admettre qu'une tradition d'au moins trente siècles de débats et questionnements ne peut que nous aider à formuler nos propres questions et, le cas échéant, à orienter vers de possibles réponses.
Comme le disait saint Bernard de Clairvaux, « nous sommes des nains juchés sur des épaules de géants. Ils nous aident à voir plus loin ». Ce que se refusait à admettre cet étudiant qui, à la question « que pensait Aristote de la justice ? », me répondit : « Ce qu'il en pensait m'importe peu. L'essentiel, c'est ce que moi j'en pense. » Une belle prétention fondée sur la confusion si commune entre « opinion » et pensée argumentée au prix d'un long travail d'élaboration.
(*) Professeur de philosophie du droit à Brest.
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15/06/2008
Bonne fête, papa!
Un papa
Un papa rapluie
Qui me fait un abri
Quand j'ai peur de la nuit.
Un papa ratonnerre
Je ne sais pas quoi faire
Quand il est en colère
Un papa rasol
Avec qui je m'envole
Quand il rigole
Un papa tout court
Que je fête en ce jour
Avec tout mon amour
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11/06/2008
Les 13 lois anti-stress
Ne pas dépasser ses possibilités, ne pas faire plus qu'on ne peut.
Se fixer un but à atteindre.
Ajuster les espoirs à un niveau réaliste.
Introduire desblancs sur le planning, faire des pauses.
Cultiver l'amour, aimer ce que l'on fait, se faire plaisir.
Respecter un certain équilibre entre altruisme et égoïsme.
Savoir se soustraire à l'entourage.
Dire ce que l'on pense et régler immédiatement les problèmes.
Réaliser que l'on ne peut rien changer du passé.
Vivre l'instant présent.
Imaginer l'avenir de façon positive.
Rire le plus possible.
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