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01/09/2015

La rentrée du poème

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C’est un petit mot
Tout propre et tout beau
Qui ne veut ni école
Ni sac sur le dos.

Il préfère les flaques d’eau
Et les feuilles qui volent,
Il préfère les étoiles
Et les bateaux à voiles…

Pourtant les enfants l’aiment
Le petit Poème,

Alors, tout propre et tout beau,
Son sac sur le dos,
Il court sur les cahiers
Des petits écoliers

Christine FAYOLLE

14/08/2015

Marie

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Je voudrais chanter, Marie, pourquoi je t'aime
Pourquoi ton nom si doux fait tressaillir mon cœur
Et pourquoi la pensée de ta grandeur suprême
Ne saurait à mon âme inspirer de frayeur.
Si je te contemplais dans ta sublime gloire
Et surpassant l'éclat de tous les bienheureux
Que je suis ton enfant je ne pourrais le croire
Ô Marie, devant toi, je baisserais les yeux !...
[...]
Tu nous aimes, Marie, comme Jésus nous aime
Et tu consens pour nous à t'éloigner de Lui.
Aimer c'est tout donner et se donner soi-même
Tu voulus le prouver en restant notre appui.
Le Sauveur connaissait ton immense tendresse
Il savait les secrets de ton cœur maternel,
Refuge des pécheurs, c'est à toi qu'Il nous laisse
Quand Il quitte la Croix pour nous attendre au Ciel.
[...]
Bientôt je l'entendrai cette douce harmonie
Bientôt dans le beau Ciel, je vais aller te voir
Toi qui vins me sourire au matin de ma vie
Viens me sourire encor... Mère... voici le soir !...
Je ne crains plus l'éclat de ta gloire suprême
Avec toi j'ai souffert et je veux maintenant
Chanter sur tes genoux, Marie, pourquoi je t'aime
Et redire à jamais que je suis ton enfant !...

Sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus
(extraits du poème "Pourquoi je t'aime, ô Marie!")

01/08/2015

Dieu est amour

dieu-est-amour.jpg

Quelque soit la maladie, l’Amour est la réponse.
Quelque soit la douleur, l’Amour est la réponse.
Quelque soit la peur, l’Amour est la réponse.
L’Amour est toujours la réponse, car l’Amour est tout ce qui est.

Toujours quand il y a un vide dans ta vie, remplis le d’Amour.
Adolescent, jeune, vieux, toujours quand il y a un vide dans ta vie, remplis le d’Amour.
Ne pense pas "je souffrirai", ne pense pas "je me tromperai".
Va simplement, allègrement, à la recherche de l’Amour.

Cherche à aimer comme tu peux, à aimer tout ce que tu peux.
Toujours quand il y a un vide dans ta vie, remplis le d’Amour.
Et quand il y a un plein dans ton Amour, emplis le de vie.

Ne pense pas "il en a assez" ; ne pense pas "il en a déjà trop".
Toujours, quand il y a un plein dans ton Amour, emplis le de vie.
N’oublie pas de donner ton Amour et n’arrête jamais.

Alors tu seras aimé.

Anonyme

La rentrée du poème

rentrée.jpg

C’est un petit mot
Tout propre et tout beau
Qui ne veut ni école
Ni sac sur le dos.

Il préfère les flaques d’eau
Et les feuilles qui volent,
Il préfère les étoiles
Et les bateaux à voiles…

Pourtant les enfants l’aiment
Le petit Poème,

Alors, tout propre et tout beau,
Son sac sur le dos,
Il court sur les cahiers
Des petits écoliers

Christine FAYOLLE

23/07/2015

Dieu, m'aime-t-il?

tp.jpgIl parle très bas et doucement, près de toi comme au téléphone, comme s’il avait peur d’être entendu, comme si toutes les conversations étaient des secrets que toi seul devais entendre. Il cache souvent ses yeux derrière de larges lunettes sombres, il met des rideaux aux fenêtres de son âme. Il a peur de se laisser toucher par la lumière. Il aime les chansons, le rap, la poésie. Il écrit sur sa peau le livre de sa vie. Il est un enfant qui ne veut pas devenir adulte. Son cœur généreux est un bouquet de fleurs, mais celles-ci se referment quand il les prive de soleil. Une question le taraude, lui brûle l’intérieur : Dieu, m’aime-t-il ? A travers cette question c’est la peur de n’être aimé de personne qui s’exprime, y compris de lui-même. Pourtant il est aimable cet enfant de trente ans qui agite ses ailes pour se défendre et essayer de s’envoler. Quand il chante son âme respire. Quand il fait du sport c’est pour être plus fort face à ses soi-disant adversaires ou ennemis. Il est comme l’élève timide et enfermé dans son mal de vivre à qui le professeur, dans « Le Cercle des Poètes disparus », veut faire pousser son cri de délivrance. N’aie pas peur ! tu as le prénom d’un empereur, Aurélien !    TP

22/07/2015

Un été, un poème

love.jpgUn regard, une rencontre. Un été, un sourire. Un numéro, un mail, une attente, un souvenir. Un appel, une voix, un début, un rencard. Un horaire, un endroit, une venue, un espoir. Une terrasse, un café, un dialogue, un moment. Un soleil, une lumière, un cœur, un battement. Une seconde, une minute, une heure, un plaisir. Un au-revoir, une prochaine, une promesse, un désir. Un après, une durée, une patience, un silence. Un doute, un pourquoi, un regret, une distance. Un retour, une surprise, un déluge, une marée. Une suite, une envie, un projet. Une soirée. Une pleine lune, une virée, un instant, une pulsion. Un frôlement, un baiser, une magie. Un frisson. Un accord, un avenir, une force, une destinée. Une étoile, un poème, et un verbe : aimer.

Grand Corps Malade

00:03 Publié dans Poèmes | Lien permanent | Commentaires (0)